La simplification des procédures de financement de certains projets permettra à l’Europe et aux États-Unis de développer l’écologie et l’industrie. C’est un objectif qu’ils désirent ardemment atteindre.
Les Américains et les Européens ont chacun établi un Green Deal. Les entreprises qui seront capables d’investir dans l’emploi des nouvelles technologies « zéro émission » bénéficieront d’allégements fiscaux. Ces mesures font désormais débat sur la scène internationale. Mais, cela annonce du changement au niveau mondial.
Mise en place d’un programme d’investissement audacieux en faveur de l’écologie
Les États-Unis ont débloqué environ 270 milliards de dollars afin de faire de l’écologie de leur industrie une priorité. Le mouvement est alors suivi de près par l’Union européenne. Elle prévoit de libérer à son tour 250 milliards d’euros de ses caisses afin de faire pareil.
Les récents bouleversements mondiaux ont en effet conscientisés les dirigeants du monde. Une révolution verte dans le domaine de la Logistique et des Transports doit être accomplie. C’est pourquoi, des allégements fiscaux allant en faveur des sociétés s’impliquant réellement dans la mise en place d’une organisation logistique durable font débats.
L’écologie et l’Industrie à un niveau mondial provoquent de nombreuses divergences d’opinions
Les réseaux d’approvisionnements internationaux sont encore trop complexes à maîtriser d’amont en aval. C’est pourquoi de nombreuses nations telles que l’Europe, les États-Unis et même la Chine entrent en compétition afin de savoir si l’écologie de l’industrie mondiale se révélera réellement efficace. Les entreprises situées dans chacune de ces contrées du monde auront sans doute des niveaux de développement différents.
Certains dirigeants de l’Union européenne craignent même que cela affecte leurs territoires. Parce qu’il faut bien le dire, les subventions allouées par l’administration Biden dans la mise en place d’une industrie plus durable aux USA offrent plus d’avantages. Par conséquent une délocalisation des entreprises européennes à l’Ouest est à craindre.
Le plan vert de l’Union européenne
Afin de ne pas creuser l’écart de force entre les nations, l’Union européen décide alors d’assouplir les règles relatives aux aides d’État. Ceci permettra aux entreprises se trouvant sur le vieux continent d’être plus libres administrativement parlant. Pouvant ainsi se mouvoir dans des secteurs « ciblés » au même titre que les entreprises bénéficiant d’aides plus conséquentes, les entreprises européennes pèsent leur poids sur la balance internationale.
De plus, grâce à la création d’un Fonds européen de souveraineté, l’Europe est désormais capable de concurrencer les autres grandes nations en matière d’écologie de leur industrie. L’usage des « technologies émergentes » est très répandu en Europe. L’automatisation des usines de production et l’utilisation de l’intelligence artificielle en sont la preuve.
Des défis encore à relever
Afin de se hisser sur la plus haute marche du podium et d’être le continent le plus engagé en termes de sauvegarde de l’environnement, l’Union Européenne a encore du chemin à faire. Mais, les efforts de nombreux dirigeants motivés sont continus. Une loi sur l’industrie nette zéro a même été proposé afin d’accélérer la remise de permis visant à réaliser des projets écologiques sur le territoire européen.
D’autant plus qu’une loi sur un acheminement facilité des matières premières critiques profiterait grandement à l’ensemble des pays de l’UE. Ainsi, l’approvisionnement en minéraux rares et/ou essentiels serait garanti.