Près d’un Français sur trois prévoit de profiter des promotions du Black Friday, un rendez-vous incontournable pour les amateurs de bonnes affaires. Les jeunes de 18 à 24 ans sont particulièrement enthousiastes, avec 50 % d’entre eux prêts à se lancer dans la frénésie des soldes.
Derrière cette effervescence se pose une question cruciale : l’impact environnemental et social de la logistique. Face à ces défis, Skipper Groupe, pionnier de la slow logistique, propose une alternative responsable. Il mise sur une approche plus durable et humaine pour répondre aux attentes des consommateurs et des entreprises.
Une journée synonyme de consommation et de logistique
Le Black Friday reste l’une des journées les plus attendues de l’année par les consommateurs. Selon une étude OpinionWay pour Bonial, 79 % des Français profitent de cette période pour effectuer leurs achats de Noël. Cependant, derrière la frénésie des offres exceptionnelles, la logistique se révèle souvent être le grand oublié de l’équation. Si les marques et les consommateurs se préoccupent de plus en plus des aspects environnementaux des produits (origine, composition, packaging), peu d’attention est accordée à l’impact des processus logistiques, pourtant essentiels dans la chaîne de consommation. C’est ici que Skipper Groupe, acteur engagé de la logistique, intervient. L’entreprise a inventé en 2020 le concept de la « slow logistique« , une approche qui s’oppose à la surconsommation et à la rapidité des flux de transport traditionnels.
La slow logistique : un modèle alternatif
Dans un monde où le « tout fast » domine, Skipper Groupe ose proposer une autre voie. La slow logistique repose sur quatre piliers. Ces derniers visent à repenser la chaîne logistique pour la rendre plus responsable. Cela commence par un engagement à emballer moins et mieux. Il s’agit de réduire les matériaux utilisés et de privilégier des emballages recyclables. Ce premier pilier a pour objectif de limiter l’impact écologique lié aux déchets d’emballage. Il garantit également de conserver l’efficacité. Ensuite, Skipper Groupe met en avant l’importance de regrouper les commandes et de ralentir les flux. Ce processus limite le nombre de trajets effectués. Cela contribue à réduire les émissions de CO2.
Il s’agit également de rationaliser le transport des produits, ce qui permet de moins polluer et de mieux gérer les stocks. L’entreprise encourage également l’utilisation de transports alternatifs et décarbonés, tels que les véhicules électriques ou d’autres solutions plus écologiques, afin de minimiser l’empreinte carbone de chaque livraison. Skipper Groupe plaide pour un modèle où le bien-être des équipes est au cœur du processus. L’épanouissement des travailleurs, qui sont souvent en première ligne dans la gestion des commandes et des livraisons, est crucial pour un système plus humain et plus durable.
Pourquoi la slow logistique est-elle indispensable ?
À l’heure où la conscience collective sur les enjeux environnementaux et sociaux prend de l’ampleur, la logistique est une pièce maîtresse de la réflexion sur la consommation responsable. Le transport de marchandises, souvent optimisé à outrance, génère une pollution massive, tout comme l’emballage des produits. La slow logistique répond à ces problématiques. Elle propose un modèle plus respectueux de l’environnement et plus centré sur l’humain.
Les consommateurs qui attendent des offres alléchantes pendant le Black Friday ne doivent pas ignorer l’impact que leurs achats peuvent avoir sur la planète. Pour les entreprises, adopter un modèle de slow logistique est une manière d’agir concrètement pour un avenir plus durable. Cela permet également de répondre à la demande croissante de transparence et de responsabilité des consommateurs.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.